L’algérien Djamel Benlamri a été contraint de mentir publiquement pour sauver la face des dirigeants algériens qui l’ont sommé de rentrer au pays après la signature de son contrat avec le WAC.
Incapable de dire la vérité au pays des généraux, Djamel Benlamri a récemment fait une sortie médiatique pour expliquer son retour précipité en Algérie alors qu’il venait de signer un contrat avec le WAC avec lequel il voulait disputer la Coupe du Monde des Clubs.
Le Fennec a affirmé qu’il n’avait pas été emballé par l’accueil que lui a réservé les dirigeants du club de Casablanca avec lesquels ils venait de signer un contrat avant de poser fierement avec le maillot du club marocain. Une explication qui ne tient pas du tout la route, sauf pour les 7merras et B3erras comme dit Mourad Tahari.
Ainsi, le champion d’Afrique en 2019 a dit, « Quand j’ai signé au WAC, c’était avec un grand enthousiasme que je m’apprêtais à défendre les couleurs de ce club. Or, des choses se sont produites et m’ont dissuadé de conclure les démarches définitives. »
Benlamri a ajouté, « Le WAC est un grand club. Mais, je n’ai pas vu le traitement que les grands clubs réservent à leurs joueurs. Le président du club n’était pas présent lors de la signature de mon contrat. Il ne répondait pas au téléphone. Je ne peux pas m’engager dans une atmosphère aussi brumeuse. »
Aujourd’hui, on apprend que le dégonflé Djamel Benlamri a fini par trouver un point de chute en s’engageant avec Al Wasl, actuel 3ème du championnat des Émirats Arabes Unis.
