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Cristiano Ronaldo a balayé l’actualité du football et livré ses ambitions personnelles. Le star du Real Madrid a toujours le même appétit.

Ce lundi, la chaîne brésilienne YouTube ‘Desimpedidos’ a publié une interview de Cristiano Ronaldo. La superstar portugaise n’y esquive aucun sujet, du Ballon d’Or à l’échéance du Mondial en Russie. « J’ai encore la force pour prétendre au Ballon d’Or »Concernant la plus prestigieuses des récompenses individuelles, CR7 ne se fixe aucune limite. « Je n’ai jamais rêvé de gagner le Ballon d’Or à cinq reprises, si je devais finir ma carrière maintenant, je serais super content. Mais si je gagnais un autre Ballon d’Or, ou deux, ou trois. je serai ravi aussi mais même si je m’arrête là, j’en ai déjà gagné cinq. J’ai encore la confiance, la force pour prétendre à ce prix. Cela dépendra des titres que nous aurons remportés cette année ». « Le Portugal n’est pas favori du Mondial, il faut être honnête »Le Lusitanien s’est également attardé sur la Coupe du monde. S’il reconnait que le Portugal ne peut pas être classé dans les favoris, le capitaine des Champions d’Europe espère encore surprendre avec sa sélection. « Nous ne sommes pas favoris, nous devons être honnêtes, il y a des équipes avec plus de noms, comme le Brésil, l’Espagne, l’Allemagne, l’Argentine. mais dans le football, tout est possible, nous allons essayer de sortir de la phase de poules. C’est l’objectif principal ». Ronaldo a-t-il d’autres rêve en tête ? « Honnêtement, je ne pense pas, tout ce dont j’ai rêvé, je l’ai eu », lance-t-il, avant de revenir sur la finale de la Coupe du monde des clubs remportée par le Real contre Grêmio cette année avec une comparaison intéressante entre la compétitivité du football européen et celle des autres continents. « Une finale c’est toujours du 50-50. J’ai ressenti la différence (technique entre les deux équipes, ndlr) car l’Europe est le meilleur football du monde, il ne faut pas mentir pour dire que le meilleur football est en Chine, au Mexique et au Brésil. Non. Les meilleurs joueurs du monde sont en Europe, et la compétitivité en Europe est très bonne parce que vous jouez contre de grandes équipes, les meilleures du monde. Techniquement, les Brésiliens sont très bons, mais ils ne sont pas habitués à jouer contre Barcelone, le Real Madrid. Nous savions que si nous jouions à notre niveau contre Grêmio, nous gagnerions ».