Zakaria Aboukhlal a quitté le PSV pour l’AZ il y a un an et trouve de plus en plus sa place dans l’équipe d’Alkmaae. Pour AZ Media, le jeune maroco-libyen a évoqué ses buts, sa famille et ses modèles.

– Vous êtes chez AZ depuis plus d’un an maintenant. Comment avez-vous vécu votre première année?
Aboukhlal : Je me suis retrouvé dans un nouvel environnement, j’ai vécu dans un hôtel pendant les trois premiers mois, puis je suis allé vivre seul. Avant cela, je vivais toujours avec mes parents, avec mon frère et mes sœurs, donc c’était toujours occupé et amusant. Sur le terrain, ça n’a pas marché ce que je voulais montrer, donc ma première année a parfois été assez difficile.  

– Après votre premier but contre Sparta, vous vous êtes dirigé vers la caméra et avez crié « Oussama Idrissi« . Pourquoi était-ce?
Aboukhlal : Quand je suis arrivé pour la première fois en AZ, Oussie s’est très bien occupé de moi. Il était sur le terrain aussi bien que dans les vestiaires, mais aussi en dehors du football en tant que frère pour moi. Parce qu’il est si important pour moi et parce que j’étais super content pour lui qu’il ait forcé son transfert à Séville. Je voulais faire savoir que le but était pour lui.

– Quel est votre meilleur exemple?
Aboukhlal : Mon plus grand exemple est Karim Benzema. J’admire son style de jeu, en termes de profondeur et de contrôle du ballon, sa capacité à marquer. Il marque souvent, mais surtout si facilement. Ce sont toutes des choses sur lesquelles je travaille aussi. C’est pourquoi il est un exemple pour moi.

– Votre père est libyen, votre mère est marocaine et vous êtes vous-même né aux Pays-Bas. Quel pays avez-vous le plus envie ?
Aboukhlal : Je n’ai aucune préférence pour être honnête. Je suis à moitié marocain et à moitié libyen, mais je me sens à cent pour cent les deux. Je suis également né aux Pays-Bas et je me sens aussi chez moi ici. Je suis heureux d’avoir grandi ici pendant une grande partie de ma vie. J’ai également vécu au Maroc pendant trois ans et demi, mais je suis content des opportunités que les Pays-Bas m’offrent, c’est pourquoi je me sens aussi néerlandais.