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En 2018, le président du Comité olympique algérien (COA), Mustapha Berraf a affirmé qu’Israël ne participera pas à la 19e édition des Jeux méditerranéens 2021 qu’abritera la ville d’Oran en 2022 pour cause des retards.

« Il n’y aura pas de participation de l’état sioniste aux Jeux méditerranéens d’Oran 2021 reportés pour 2002. Cette participation ne pourra pas avoir lieu car ils (Israéliens) ne font pas partie du Comité International des Jeux méditerranéens (CIJM)”, avait déclaré le président du COA

Ils comptent sur leur programme pour adhérer au CIJM. La question de leur adhésion n’est pas à l’ordre du jour”, avait-il précisé à l’époque.

Déja en 2015, l’Algérie avait affirmé sa ferme opposition à la participation d’Israël à ces Jeux. Une prise de position qui a poussé plusieurs organisations internationales à alerter sur les éventuelles utilisations idéologiques et politiques des Jeux.

Pour elles, la politique ne devait en rien empiéter sur le sport. C’est pourquoi le Comité international des Jeux méditerranéens qui chapeaute les Jeux méditerranéens, aurait fait le forcing pour qu’Israël soit admise et présente à Oran.

Et d’après les dernières informations qui circulent, l’Algérie aurait accepté la présence d’athlètes israéliens à Oran sans informer sa population. Il se murmure que la Palestine ne sera toujours pas admise dans le CIJM contrairement à l’état hébreux qui se prépare à y entrer par la porte d’Oran.