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Le sélectionneur national Hervé Renard a animé sa toute première conférence de presse en Coupe d’Afrique des Nations 2019 (21 juin-19 juillet), cet après-midi au Stade Al-Salam du Caire à la veille du match Maroc-Namibie accompagné de Youssef Ait Bennasser

“L’important c’est le point de départ et le point d’arrivée, qui est bien sûr de se donner comme objectif d’aller le plus loin possible”, affirme le sélectionneur du Maroc Hervé Renard, deux fois vainqueur de la CAN, à la veille d’entrer en lice contre la Namibie au Caire. “L’important, c’est les points de départ et d’arrivée”, a affirmé samedi le sélectionneur des Lions de l’Atlas Hervé Renard, deux fois vainqueur de la CAN, à la veille d’entrer en lice contre la Namibie au Caire. “C’est toujours la meilleure chose que de commencer par une victoire. L’important, c’est les points de départ et d’arrivée. L’objectif, c’est d’aller le plus loin possible”, a expliqué le technicien français. Sacré avec la Zambie en 2012 et la Côte d’Ivoire en 2015, Renard ambitionne de rapporter un trophée qui fuit le Maroc depuis 1976. Sa première tentative, en 2017, s’était arrêtée en quarts de finale. “Je pense qu’on a beaucoup plus de qualités en 2019 qu’en 2017. Quand on prend le nombre de blessés qu’on avait en 2017, Amrabat, Belhanda, Boufal, Ziyech qui n’était pas là. Il va falloir associer nos qualités à l’esprit exceptionnel qu’on a eu en 2017”, a expliqué le coach à la chemise blanche. Avec sa star Hakim Ziyech qui a explosé sur la scène européenne cette saison avec l’Ajax Amsterdam, le Maroc appartient au groupe de favoris sérieux qui peuvent battre l’Egypte de Mohamed Salah chez lui. Mais il a pris la route des pyramides en ayant perdu ses deux derniers amicaux, contre la Gambie (1-0) et la Zambie (3-2). “Nous sommes arrivés au Caire en mode compétition”, a rassuré Renard. “Le premier match pour chaque équipe est difficile, chacun entre avec une motivation extrême. On part tous sur la même ligne. A nous bien de commencer cette compétition”. En plus des Namibiens, les Lions de l’Atlas devront composer avec un autre adversaire coriace: la chaleur, en jouant à 15h30 dans le cagnard de la capitale égyptienne. “Ce n’est pas l’heure idéale, a reconnu Renard. Il faut gérer ce paramètre important. Il faut s’appliquer techniquement pour ne pas trop puiser dans les ressources. Faire la différence le plus tôt possible, ça aide mais c’est difficile”.