Le Maroc dispose d’un vivier impressionnant de jeune joueur en devenir pour intégrer ou continuer avec les Lions de l’Atlas.

La politique mise en place et prônée par le sélectionneur du Maroc Walid Regragui semble satisfaire les jeunes pousses marocains. Bien que ne promettant rien à cette génération montante, le technicien marocain tient un discours des plus enthousiastes.

Les jeunes joueurs, de la Botola mais surtout des championnats Européens avec des cracks promis à un choix pour le pays de résidence et de formation si ce n’est de naissance à l’image d’un Chadi Ryad ou d’Ayoub Amraoui, semblent plus sensibles et enclin à choisir le Maroc à la fois pour le cœur mais aussi pour le sportif lors qu’ils se réfèrent au parcours réalisé en Coupe du Monde

On retrouve donc dans cette nouvelle liste une génération particulièrement jeune et surtout une promesse pour l’avenir de la sélection. Des jeunes de moins de 23 ans, voire même à peine majeurs pour certains.

Le discours de Regragui, qui avouait il y a peu vouloir incorporer les jeunes méritant avec parcimonie à l’équipe première du Maroc, est donc une réalité concrète.

Même s’il ne faut préjuger de rien et surtout pas de leur avenir. Chat échaudé craint l’eau froide, à l’image de la « déception » Hachim Mastour qui n’a pas su contretirer tout le potentiel qu’il laissait entrevoir. Mais la génération semble être déjà établi en club ce qui est déjà une excellente chose.

Après les déjà habitué de l’équipe nationale, Aboukhlal, Louza, Ounahi, Ezzalzouli ou encore Dari, d’autres promesses du football marocain sont du rassemblement futur comme peuvent l’être les Bouchouari, Amraoui, Riad, Salah ou Kechta.

Une génération dorée qui laisse entrevoir de belles années pour l’équipe nationale si toutefois ils se mettent au diapason et au niveau des exigences voulues par le sélectionneur et par la sélection tout simplement.

Toujours est-il que ce vivier permet de voir l’avenir plus sereinement, et les dires du sélectionneur permettent de lui donner raison au vu des retours, à l’image de son discours sur l’attractivité de la sélection suite à sa performance mémorable au Qatar.