L’Argentine souffrait mais n’avait pas encore cédé. La boulette de son gardien, Willy Caballero, a précipité la chute d’une équipe qui ne méritait finalement pas autre chose qu’une défaite, ce jeudi soir.
L’Argentine souffrait mais n’avait pas encore cédé. La boulette de son gardien, Willy Caballero, a précipité la chute d’une équipe qui ne méritait finalement pas autre chose qu’une défaite, ce jeudi soir.