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2018 s’annonce comme une année particulière pour le Maroc en matière de rayonnement sportif et diplomatique. Cet Etat d’Afrique du nord avait déjà opéré début 2017 son grand come-back dans sa «famille naturelle de l’UA (Union Africaine)»…

2017 avait déjà assis le come-back du Maroc sous les rampes de l’actualité africaine dans différents domaines, grâce d’une part à son retour à l’UA, et d’autre part son adhésion officielle à la CEDEAO, programmée sur le 16 décembre 2017, à Lomé (Togo). 2018 devrait confirmer définitivement cette dynamique… Organisateur du prochain CHAN (CAN réservée aux joueurs évoluant sur le continent noir) en janvier 2018, le Maroc pourrait également refaire une apparition en Coupe du monde l’année prochaine, s’il arrive à déjouer le piège de la Côte d’Ivoire le 11 novembre prochain. Lions de l’Atlas et Eléphants joueront à cette date la finale de leur poule en éliminatoires du Mondial, Russie 2018 ! Le chiffre «8″semble porter chance aux sujets du Roi Mohammed VI. La dernière CAN abritée par ce pays émergent en Afrique remontait à 1988. La dernière participation en date des Marocains à la grand-messe du foot mondial remonte aussi à 1998 en France avec la génération des Hadji, Chipo, Naybet, etc. Emmenés par un coach (le Français Hervé Renard) fin tacticien, pragmatiste, excellent lecteur du jeu technique de ses adversaires, les Lions de l’Atlas ont leur destin entre leurs pieds à Abidjan le 11 novembre prochain. Surfant sur l’efficacité d’une génération volontariste, les Marocains ont les moyens de déjouer les pronostics et de confirmer l’apparent attachement de l’histoire sportive de leur pays au chiffre «8». Après avoir accueilli deux années consécutives les phases finales de la Coupe du monde des clubs de la FIFA sur son sol, le Maroc jouera en outre en décembre prochain (du 06 au 16) aux Emirats arabes unis ce même tournoi, avec son représentant, le WAC, qui a soif de notoriété internationale.