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Selon certains médias marocains, à l’instar de goud. ma, Badou Zaki regrette ce qu’il qualifie de campagne de déstabilisation menée à l’encontre de sa sélection par des individus dont il ne veut rien savoir.

Selon Badou Zaki, actuel patron des Lions de l’Atlas mais aussi très proche collaborateur de Mounir El-Hassouni (que certains observateurs qualifient de directeur technique de la sélection nationale), notre rédaction chercherait à déstabiliser sa sélection à un mois d’un match capital contre la Guinée-Equatoriale, à priori largement à la portée des Lions de l’Atlas, même si ces derniers ont éprouvé toutes les peines du monde pour battre la Libye (1-0), dont le pays est meurtri par la guerre civile, ou pour arriver à bout de Sao Tomé et Principe (3-0), qui, avouons-le, reste une sélection africaine de niveau régional et sans grande ambition. Inquiet pour son futur à la tête de l’Equipe du Maroc, Badou Zaki a profité d’une presse qui lui fait allégeance pour dissuader le président de la fédération marocaine, Fouzi Lakjaa, de mener une quelconque négociation avec l’agent de joueurs, Moussa Sissoko, en le sommant de respecter les engagements conclus dans le contrat qui lie l’actuel sélectionneur du Maroc et la Fédération Royale Marocaine de Football.