CHAN 2022

Les attaques envers la Fédération Royale Marocaine de Football et son premier représentant en la personne de Faouzi Lekjaa ont depuis longtemps été quasi quotidiennes.

Depuis cette CHAN, qui prend des allures de tour politique plus que de terrain de sport par les organisateurs, les attaques se font plus intensives.

Discréditer et salir sont les maîtres mots de ces derniers. Les journalistes Algériens n’en sont pas à leur coup d’essais. Seulement les attaques ne viennent pas que du côté de l’Algérie qui nourrit un sentiment d’aigreur et de haine envers les marocains, qu’ils soient sportifs ou autres.

Seulement nos athlètes eux n’auraient souhaiter que produire ceux pourquoi ils s’entraînent quotidiennement.

Lorsque les attaques proviennent de pseudo journalistes dit « d’investigation » les choses sont encore plus claires… La haine du Maroc pour moteur.

Francis Gaitho qui s’érige en modèle de déontologie, fabrique ou use de médiocrité dans ses arguments et preuves. Dernier en date, l’argumentaire sur la demande de Faouzi Lekjaa, pour un vol direct vers Constantine qui réside sur des screens où il explique fallacieusement que le Maroc est en tort, sans expliquer ce qui a été fait avant ni même que la demande peut être fait par écrit jusqu’à une heure avant le vol.

Bref, lorsque certains souhaitent discréditer ou salir quelqu’un, ils trouvent toujours un moyen, notamment le mensonge ou l’approximation. Cette personne en question n’en est pas à son coup d’essais et il semble que le Maroc et la FRMF soient ses cibles favorites.

Reste seulement que la vérité fini toujours par être établie et ici cette personne peu scrupuleuse trouvera un autre subterfuge pour expliquer sa médiocrité, son approximation et surtout son parti pris.

D’aucuns auraient tenté d’expliquer son attitude par des manipulations visible ou encore des évidentes accointances avec un certain pays. Mais nous ne sommes pas de ceux là, nous souhaitons pour le moins que cette personne fasse son travail avec la déontologie qui s’impose, ou à défaut qu’elle se taise.